Montagne Sainte-Geneviève

  • Une communauté dans la cité
  • Un patrimoine historique méconnu
des sites,

des sites,

Le début du XXème siècle marque un tournant majeur dans l’histoire du « plateau » de la Montagne. Tout commence en 1906. L’Université de Paris et la ville de Paris acquièrent un vaste terrain appartenant à la congrégation des Dames de Saint Michel.

Pendant trente ans, cette friche va se transformer en un chantier permanent d’où surgiront de nombreux instituts de recherche : l’Institut du radium et les bâtiments de la future ENSCP, en dernier, ceux de l’IBPC  La physionomie originale de la recherche publique en France doit beaucoup à cette concentration d’établissements et aux liens qui unissent leurs directeurs. Le savant isolé fait place au chercheur travaillant en équipe. En 1939, la création du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) entérine cette évolution.

Les institutions de la Montagne Sainte-Geneviève résonnent encore des débats scientifiques, sociaux et politiques du siècle dernier. Elles gardent en mémoire les carrières intellectuelles et morales des acteurs-phares. Elles demeurent des points d’ancrage et de référence de la communauté scientifique contemporaine

Un patrimoine historique méconnu

Sur des terrains acquis par la Ville et l’Université…

…des bâtiments adaptés,

…des instruments anciens,

…des archives,

…des fonds photographiques,

…des éléments décoratifs